Et si savoir se défendre devenait intuitif ?
Se défendre correctement, s’entend.
Seulement…
Assurer sa défense personnelle n’est visiblement pas un acte naturel.
Vous pouvez en faire le constat par vous-même : si vous êtes novice, entrez dans une salle et demandez à faire un essai. Pour vous voir en situation.
Si vous n’êtes pas novice, vous le savez forcément.
Qu’observez-vous ?
Vous faites l’inverse de ce qu’il faut ?
Vous n’êtes pas dans le temps ?
Vous vous bloquez ?
Vous n’êtes pas correctement placé(e) ?
Vous vous sentez paralysé(e) ?
Vous êtes emprunté(e) ?
Vous perdez vos moyens ?
Vous n’osez pas ?
…
Pire : vous êtes probablement en train d’affronter directement le danger.
Voire d’aller à son encontre comme pour vouloir l’arrêter, le bloquer ? Comme pour vouloir y faire opposition ?
Ou bien vous êtes en train d’esquiver, de vous soustraire ?
N’êtes-vous pas tout simplement en train d’aggraver la situation ?
Alors, vous vous laissez dire que, face à la puissance d’une agression, vous devez avant toute chose renforcer votre corps : vous endurcir. Faire des pompes et des abdominaux. Pour devenir plus fort, plus rapide…
Courir, gagner du souffle.
Porter des charges pour renforcer votre dos.
Supporter des frappes.
Porter des coups.
Bref, être plus brutal avec vous-même et avec les autres.
Et oui, vous vous laissez convaincre qu’il serait bon de vous entraîner à la brutalité.
Seulement, au fond de vous, ce n’est pas le chemin que vous avez envie de suivre.
Mais vous pensez que c’est la seule solution et qu’il vous faut vous y résoudre.
Même si vous voyez dans les rangs de votre « club », des sportifs de combat qui, après quelques années, sont physiquement usés, blessés, … et contraints de rester « au bord du tapis ».
En fait vous ne pensiez pas qu’il puisse y avoir une autre solution.
…On en reparle plus bas.
Et vous avez raison de vous sentir concerné(e).
Vous le savez si vous suivez l’actualité (difficile d’y échapper),…
Le problème est que :
la violence d’une agression physique, d’une agression verbale, d’un harcèlement… est ressentie de plus en plus quotidiennement, d’après les statistiques officielles.
Selon l’Insee,
pour ne considérer que les agressions physiques :
222.900 agressions physiques ont été déclarées en 2017
(coups et blessures volontaires).
Et ça, ce n’est que ce qui a été déclaré !
Comme seule une faible proportion de personnes porte plainte auprès des forces de l’ordre,
ce sont 1,1 million de personnes (hors enfants)
qui sont estimées être victimes de violences physiques sur un an
sources : enquêtes de victimation de ces dernières années (en France métropolitaine uniquement).
Par violences physiques l’Insee indique : « coups, blessures, gifles, bousculades, empoignades, entre autres »
Et ces chiffres sont en progression (+ 4% par rapport à 2016).
L’Insee nous dit que le risque est bien réel d’être confronté(e) à des comportements agressifs.
Difficile, en effet, de ne pas se sentir concerné(e).
De toute façon, vous le voyez dans l’actualité sur vos écrans !
La réalité est bien là. Elle est quotidienne.
Et vous dans tout ça comment le prenez-vous ?
Peut-être avez-vous déjà été directement victime d’une agression ?
Ou peut-être que la victime est un proche ?
Dans ce cas vous pouvez témoigner des conséquences physiques et morales ressenties.
Ou peut-être craignez-vous d’y être tôt ou tard confronté(e) ? Car votre environnement de vie, de travail, de transport, n’est pas suffisamment sécurisant.
Aujourd’hui, vous comprenez que :
se défendre doit faire partie de votre savoir-être.
Se défendre est une compétence qui doit faire partie du savoir-faire de chacun.
Chacun doit développer ce savoir-faire !
C’est de plus en plus évident.
C’est de plus en plus indispensable.
Et cela concerne tout le monde, à tout âge.
La solution passe par chacun et chacune.
La solution passe par vous.
Pour être direct, c’est votre problème !
Ça veut dire que VOUS pouvez le résoudre
Que c’est dans vos moyens. Absolument !
Mais pas n’importe comment.
Le temps compte car cela se prépare.
Il est impossible de parer à des situation d’agressivité le moment venu sans y avoir été préparé(e).
Mais vous vous dites que ce n’est pas à votre portée ?
- Que vous auriez dû commencer plus tôt.
- Que vous n’avez pas le niveau physique pour.
- Que ça a l’air compliqué.
- Que vous êtes trop âgé(e).
- Que c’est une question de force physique.
- Que vous avez peur de vous abîmer physiquement.
Est-ce que les agressions ne sont dirigées que contre les gens jeunes, en pleine capacité physique, forts, … ?
Alors, comment (bien) se défendre ??
C’est-à-dire comment se défendre, sans aller droit au casse-pipe ??
Sans amplifier le danger, sans augmenter le risque encouru ?
Sans aggraver la situation ??
Sans entrer dans une escalade de violence ?
Sans subir de brutalité ?
Sans succomber à la brutalité ?
Sans s’endommager irréversiblement ?
Et Comment avoir des résultats rapides ?
En cas de besoin, anéantir l’action d’un agresseur ne nécessite pas de technique avancée. Elle requiert avant tout une attitude juste, acquise par l’apprentissage de bases qui donneront vite les postures et réflexes indispensables.
Par conséquent, à condition qu’elles soient mises en évidence par l’enseignement, et “réalisées” par l’apprenant, réunir les conditions pour se mettre en sécurité est assez rapidement acquis…
…En revanche, réagir pour sa sécurité tout en préservant son agresseur nécessite plus de maîtrise et de technique.
Celles-ci s’acquièrent au cours d’un apprentissage dans lequel le temps doit faire son œuvre car elles passent par la remise en cause et la construction de soi.
On est ici sur la “voie”, le Do de aïkido, chemin par lequel c’est la connaissance et l’amélioration de soi qui sont recherchées.
On ne changera pas immédiatement du tout au tout, mais comme le dit l’adage, ce n’est pas l’objectif qui importe, mais le chemin pour y parvenir.
Parcours :
- En quelques séances, apprenez les attitudes et les gestes qui sauvent.
- En quelques semaines, assimilez-les.
- Ancrez-les ensuite en vous pour que la self-defense soit réflexe, affirmée et juste.
“J’ai essayé l’aïkido pour voir, sur invitation… Exerçant le krav maga depuis neuf ans, j’ai toujours cru qu’il en fallait vingt en aïkido pour être efficace. Une séance au dojo SNC AIKIDO m’a pleinement convaincu du contraire. L’aïkido est d’une incomparable évidence et sa logique porte son efficacité. Le tout est de s’approprier les bases. Sa pratique est agréable et n’est pas physiquement traumatisante contrairement aux sports de combat. Il est par ailleurs empreint d’une véritable sagesse, ce qui en renforce encore l’intérêt.”
FR, Villeurbanne.
Sans devoir apprendre d’innombrables techniques avant d’être efficace ?
Peut-être pensez-vous qu’apprendre à se défendre nécessite énormément de temps et que vous ne serez pas efficace avant la Saint-Glinglin.
Si votre idée est d’avaler tout un catalogue de techniques, alors oui, il vous faudra attendre la Saint-Glinglin.
Et encore, vous aurez attendu pour rien parce que au moment de vous en servir vous ne sauriez quelle technique choisir dans une situation d’urgence.
Il ne faut pas trop d’une année pour passer en revue l’ensemble des techniques qui existent.
Et à ce rythme, vous ne pourriez consacrer qu’un quart d’heure par technique.
Comment alors espérer trouver une efficacité de cette manière ?
Ce n’est donc pas ce que vous voulez.
Pourtant c’est souvent ce qui vous sera proposé sur le « marché des arts martiaux ».
Faute de mieux, on vous déroule le catalogue technique national de la discipline !
Et plus vous ingurgitez de techniques, plus on vous gratifie…
Ce qui vous incite à poursuivre, à compiler encore des techniques, ce qui va dans le sens de ceux qui vous les enseignent, n’ayant pas mieux à vous proposer.
Au bout du compte vous avez tellement amassé de techniques que le moment venu vous ne savez pas laquelle vous devez mettre en place, vous êtes tout simplement désemparé(e).
La probabilité que ce soit le bonne qui sorte est infime.
La technique ne sert à rien si on ne sait pas quand s’en servir.
Sans traumatisme pour le corps ?
Vous ne voulez pas d’une activité qui soit traumatisante pour le corps. Vous ne voulez pas détériorer votre physique.
Logique, bien que beaucoup vous y entraînent car pour eux, le combat est un rapport de forces. Et dans les rapports de forces, qu’on gagne ou qu’on perde, on y laisse des plumes (ou des os plutôt).
Vous avez certainement dans votre entourage ce genre de sportifs qui vous expliquent qu’ils ont cassé la machine.
Sans déclencher chez vous des comportements violents ?
Des comportements qui visent à la destruction de l’autre.
La violence n’est pas le meilleur moyen.
Car la violence engendre la violence ou le ressentiment et donc l’esprit de vengeance.
Par ailleurs en répondant à la violence par la violence, on n’est jamais certain de sortir gagnant.
Même si on a remporté la partie, on a aussi créé les conditions du combat suivant.
Pour être capable de se défendre, on pense que que la solution est de pratiquer un sport de combat le plus brutal possible.
Avec comme idée que plus on est brutal, plus on a de chances de vaincre.
Sans penser que dans ce cas, on s’enfonce dans la confrontation, dans la lutte. Sans garantie de résultat.
“Je suis une femme d’un petit gabarit. A l’époque très craintive, j’étais une proie facile pour tout agressif qui croisait mon chemin ; j’ai subi maintes agressions heureusement sans conséquences. Voulant pouvoir regagner mon domicile sans avoir la peur au ventre, et prendre confiance en moi, je me suis mise à la pratique de l’aïkido. Après quelques mois, j’ai pu constater que je ne croisais plus d’agressifs ou alors que j’étais devenue transparente à leurs yeux. Je crois que c’est mon attitude qui a changé. Ma nouvelle posture me pose, tout simplement, et cela se ressent.”
ND, Lyon
Mettez donc l’accent sur ce qui va vous permettre de vous défendre à tous les coups !
ou en tout cas d’améliorer grandement les chances de vous en sortir,
ce sont :
Les principes
Portez vos efforts sur l’acquisition des principes !
Voici la clé.
C’est dans l’apprentissage et l’assimilation des principes qu’il vous faut investir vos efforts.
Cette clé est trop souvent oubliée ou négligée par beaucoup de pratiquants et d’enseignants qui considèrent plutôt la technique comme le but ultime.
Le fameux catalogue technique national !
Les principes, c’est très rarement ce qu’on va vous enseigner !
Pourquoi ?
Parce qu’il est plus simple de se référer à un catalogue de techniques,
comme une sorte de norme qu’on va s’évertuer à vous faire bachoter.
…pour ensuite pouvoir vous y comparer et vous gratifier.
On vous garantit que vous allez les apprendre, on ne vous garantit pas que vous allez savoir vous en servir.
Regardez. En aïkido, on dénombre environ 350 techniques.
Théoriquement impossible à apprendre et à maîtriser si on veut être efficace rapidement.
Vous êtes d’accord ?
De plus, impossible pour le cerveau d’identifier immédiatement au milieu de ce catalogue LA technique à appliquer dans l’urgence d’une situation.
A la première occasion, vous allez vous sentir débordé(e) par l’amplitude et la diversité des techniques qui composent votre « catalogue ».
Et les clés vous manqueront pour identifier LA technique à appliquer.
En revanche, les principes, eux, vous donneront la marche à suivre.
…Et vous permettront de structurer votre défense.
…Vous conduisant naturellement vers la technique à appliquer.
Parce que sur les 350 techniques, il n’y en a qu’une qui vous sera utile en définitive.
Dans la réalité d’une situation donnée, toutes les autres ne vous serviront à rien.
Est-ce que vous trouveriez logique d’apprendre aussi toutes les situations auxquelles correspondent ces techniques ?
Parce que c’est bien ce qui vous sera demandé (pas ici) :
« si on vous attaque comme ceci, alors vous ferez comme cela. »
1° c’est impossible à mémoriser
2° le cerveau est incapable de faire la liaison avec un catalogue de techniques dans une situation dans laquelle vous pourriez être paralysé par l’effet de surprise et l’urgence.
Avantages d’apprendre les principes :
ils sont peu nombreux
Il y a 25 fois moins de principes qu’il y a de techniques.
Proportionnellement, pour 1 principe acquis, il vous faudrait apprendre 25 techniques !
Alors, que préférez-vous ?
Assimiler une poignée de principes valables en toutes circonstances ou tenter de mémoriser 350 techniques dont vous ne saurez pas quoi faire le moment opportun ?
ils ne changent jamais
et sont donc TOUJOURS applicables
C’est une GRANDE caractéristique des principes, à l’inverse des techniques.
Ils sont VRAIS quelle que soit la situation. (C’est bien ce qui en fait un principe.)
Les principes… ils ne bougent pas (c’est du evergreen, comme un arbre à feuilles persistantes). Ils restent vrais quelles que soient les situations. Ils sont toujours applicables.
On ne peut pas en dire autant des techniques !
Les techniques varient en fonction des situations.
Une technique n’est pas applicable en toutes circonstances (contrairement à ce qu’on veut parfois vous faire croire d’ailleurs).
Rien qu’en fonction de la taille de votre adversaire par rapport à la vôtre, une technique peut ne pas être applicable.
Alors qu’un principe ne dépendra jamais de la taille de votre adversaire ni de son poids ni de quoi que ce soit d’autre.
Si vous progressez sur les principes vous serez capable de vous sortir de toutes les situations.
C’est ce que faisaient les guerriers dans les arts de combat anciens : ils mettaient en oeuvre les principes, les techniques venant en renfort des principes.
Vous ne vous en sortirez pas si vous progressez uniquement sur les techniques.
Alors, selon vous,
sur quoi vaut-il mieux porter la plupart de vos efforts ?
Sur 350 techniques que vous ne saurez jamais quand utiliser
ou
sur quelques principes valables en toutes circonstances ?
Au dojo SNC AIKIDO, nous considérons que :
les techniques sont importantes.
Mais pas à l’écart des principes.
Quand vous assimilez les principes, vous disposez de règles claires.
Au travers de leur mise en oeuvre systématique, vous vous améliorez et vous réussissez.
Les techniques, il faut les connaître mais pas à l’écart des principes. Car en mettant en place les principes, la bonne technique s’imposera naturellement pour conclure la situation.
Si vous n’avez appris que des techniques, vous serez juste incapable de réaliser la bonne dans la spontanéité d’une situation.
La technique est utile et très importante. Elle vous permet de conclure. Elle intervient donc à un moment précis.
On ne peut conclure qu’à l’issue d’un développement. Donc, ce qui compte c’est bien ce qui se passe avant la conclusion.
Si vous entrez dans un sujet par la conclusion, cela ne fonctionnera pas et vous vous tromperez, vous perdrez. C’est malheureusement ce qu’une majorité de personnes vont chercher à faire.
95% du travail s’effectue avant de placer la moindre technique.
Et une technique devient efficace si les principes ont été préalablement appliqués.
Il est illusoire d’apprendre des techniques à l’écart des principes. Or c’est malheureusement ce qui se pratique et ce qui s’enseigne majoritairement.
La plupart des écoles portent leur attention sur les techniques et uniquement sur les techniques.
Et leurs enseignants se préoccupent d’élargir leur catalogue de techniques pour vous montrer qu’ils en savent toujours plus et ainsi gagner votre considération le plus longtemps possible.
En même temps c’est ce qui leur a été enseigné.
(C’est pour cela que certains de leurs observateurs avisés ne croient pas en l’efficacité de l’aïkido.
Logique, au vu de ce qui leur est montré !).
Car il est impossible qu’une technique fonctionne si les conditions de sa réalisation (permises par les principes) ne sont réunies avant tout.
—-
Et le meilleur ? C’est que :
les principes que vous aurez acquis au plan physique,
vous pourrez les appliquer au plan verbal
*C’est toute la force des principes ! D’être transposables.
De rester vrais quelles que soient les circonstances.
Les principes, lorsque vous les connaissez au niveau physique, vous pouvez les mettre en oeuvre tout aussi bien au niveau verbal.
Ce qu’on ne peut pas affirmer des techniques.Une technique restera au niveau physique. Elle ne sera pas transposable au niveau verbal.
C’est donc dans les principes qu’il est avant tout rentable d’investir vos efforts d’apprentissage.
Et ainsi, avec la même méthode, vous résolvez les conflits physiques aussi bien que les conflits verbaux.
Vous voulez développer votre compétence à résoudre également les conflits verbaux ?
Un conflit physique naît souvent d’un conflit verbal.
Utilisez les mêmes principes !
Quand vous savez faire pour l’un, vous savez faire pour l’autre.
Ça vous évite d’apprendre une méthode pour vous défendre physiquement et une autre méthode pour vous défendre verbalement.
Vous partiriez dans deux directions différentes (voire opposées) pour atteindre un même objectif.
Utilisez votre savoir-faire physique pour développer votre savoir-faire verbal.
Avantage : vous partez de votre ressenti physique en situation de combat.
La manière d’effectuer cette transition est enseignée au dojo.
“L’aïkido nous donne les moyens de se construire individuellement et ses valeurs s’appliquent avec efficacité dans les tensions et conflits relationnels de la vie moderne, tant personnelle que professionnelle.”
JPD, Caluire.
“J’y découvre peu à peu une philosophie qui me convient. Savoir accepter d’aller dans le sens de l’autre, ne serait-ce qu’un moment, afin de modifier une situation. Inscrire cet acte dans son corps pour qu’il devienne réalité.
L’apprentissage se fait deux par deux et les duos sont renouvelés fréquemment tout au long de la séance d’une heure trente. Il y a ainsi une sollicitation de chaque instant pour apprendre de l’autre autant que de soi-même. Le tout dans la bonne humeur et le respect de chacun.”
CJ, Caluire.
Et pendant ce temps, le corps, lui, travaille !
Fort des principes qui prennent place dans vos attitudes et vos réflexes, votre esprit prend en charge le jugement, la stratégie et la tactique. Bref, ce qui fait que l’Aïkido est un art martial.
Il se prend (votre esprit), pendant les entraînements, au caractère ludique de la résolution des situations de combat.
Vous vous prenez au jeu.
Et pendant ce temps, le corps travaille.
Vous apprenez à le laisser faire, sans avoir à réfléchir « à sa place » car progressivement il sait ce qu’il a à faire.
Il élimine tout le superflu : vos gestes sont épurés, naturels, simples.
Il s’assouplit, s’étire, se renforce.
Il trouve de lui-même les bons placements dans l’espace.
Vous avez juste à le laisser faire.
Alors avant tout, il faut éliminer les blocages.
Parce qu’on en a. Tous. Notamment lorsqu’on débute.
C’est normal… il s’agit juste l’accepter. Et ça, ce n’est pas toujours facile.
Donc, il faut s’attendre à se retrouver face à soi-même.
Face à ses contradictions…
L’aïkido va vous aider à progresser.
Mais avant tout il va vous montrer où vous en êtes.
Il vous parlera à vous-même. Seul vous-même allez entendre ce qu’il a à vous dire sur vous.
Il va vous mettre sur le bon chemin en vous débarrassant de tout ce superflu que vous avez accumulé dans votre parcours, au fil des divers conditionnements provoqués par votre mode vie.
Bien sûr, il faudra en accepter la règle.
Et ce ne semble pas toujours évident.
Si vous n’êtes pas prêt à l’accepter, alors ce n’est pas le moment de vous y mettre et peut-être que ce n’est tout simplement pas pour vous.
Mais si cette remise en cause ne vous fait pas peur, les progrès seront sensibles.
L’aïkido ne nécessite pas d’aptitudes physiques particulières.
Tout le monde peut s’y mettre (9 à 99 ans !).
Adultes
Adolescents
Enfants
Vous pratiquez dans le plein respect de vos capacités et de vos limites. Vous exercez avant tout pour vous, sans pression ni contrainte extérieure. Sans compétition.
Il n’y a pas de compétition en aïkido et le souci de la préservation du corps est permanent.
La pratique de l’aïkido facilite la régulation des rythmes de la vie moderne ; le bien-être est ressenti au terme de chaque séance.
L’aïkido, en tant qu’art de vie, accompagne le pratiquant à tous les stades de son existence. Il peut se pratiquer à tout âge. Il éduquera l’enfant, il formera l’adulte, il entretiendra l’ancien. L’aïkido se pratique dans le respect des capacités et des limites de chacun. L’aïkido oeuvre avant tout à la construction de soi, physique et mentale. Il recherche la préservation du corps en toutes circonstances, la pratique ne devant jamais être traumatisante. Il renforce le mental.L’aïkido est un art martial relativement jeune (moins de cent ans). Moderne, Il a su s’adapter : d’un art de guerre transmis de manière confidentielle, voire secrète, il est devenu, après guerre, une discipline de développement individuel et collectif, et s’est très largement répandu de par le monde. Ses adeptes sont sans cesse plus nombreux. Sans esprit de compétition, adaptable à chacun, il peut se pratiquer longtemps. Il participe à la régulation des rythmes imposés par la vie moderne. Il met en oeuvre des principes ancestraux issus de la culture asiatique et très demandés à l’heure actuelle. Il est souvent associé, notamment lors de stages, à des disciplines connexes et complémentaires telles que le shiatsu.
“J’ai découvert, au dojo SNC AIKIDO, une discipline qui, à l’âge de 57 ans, m’a tout d’abord remis physiquement en forme après une progressive dégradation de mon état général au fil des ans. J’ai sensiblement amélioré : souplesse, équilibre, concentration dans l’action, respiration. Au terme des trois séances d’essai j’ai eu la sensation d’être mieux en fin de cours qu’au début. Après deux mois de « dérouillage » j’ai été convaincu que je retrouverais vite une partie ce que j’avais perdu. Je pratique maintenant depuis deux ans et mon regret est de ne pas avoir eu cette démarche plus tôt.”
JPD, Caluire.
“Bien que l’aïkido soit majoritairement pratiqué par des hommes, il me semble que les qualités qu’il requiert sont particulièrement favorables aux femmes. La souplesse de toutes les articulations est travaillée en profondeur. La coordination et l’enchainement des techniques en réaction à celles de son partenaire est essentiellement affaire de concentration et d’ouvrage à remettre sur le métier, encore et encore. La force physique ne représente pas un atout dans cette pratique. L’équilibre du corps autour de son centre est bien plus essentiel. C’est aussi un gage de réussite de l’intention poursuivie par le combattant.”
CJ, Caluire.
Qu’allez-vous apprendre et réaliser au dojo ?
Vous apprendrez :
- les principes, bien sûr.
- les trois moments vitaux dans toute relation de combat (ou de conflit verbal). A réaliser parfaitement et dans l’ordre. Si l’un de ces moments est absent ou mal réalisé, la « relation » échoue. Dans un combat, l’échec c’est la fin. Comprenez la mort.
- les bases, dont la maîtrise vous donnera les réflexes justes, ceux que vous mettrez en oeuvre sans même avoir à y penser.
- les techniques. Et oui. On ne va pas s’en passer puisqu’elles sont redoutables d’efficacité lorsqu’elles concordent avec les principes. L’avantage, c’est que quand les principes sont appliqués, LA technique qui convient s’impose naturellement, sans que vous ayez à devoir choisir. Le choix fait appel à la réflexion qui est un processus lent qui n’a pas sa place dans la spontanéité d’un combat. Vous apprendrez donc les techniques dans le respect des principes. Comme les principes seront en vous, ceux-ci vous conduiront toujours vers la technique la plus appropriée. Votre travail sera fluide.
- vous apprendrez aussi à vous libérer de vos blocages, physiques et mentaux.
- à avancer en l’absence de toute compétition. Un art martial est incompatible avec la notion de compétition. Gagner un combat, c’est la vie, le perdre c’est la mort. Or avant de devenir champion, tout compétiteur a perdu bien des combats ! (Est donc théoriquement mort autant de fois…). Il n’y a de compétition dans aucun art martial digne du nom. Par définition, c’est incompatible.
C’est le dojo qui vous offre le cadre de vos progrès.
Et c’est tout l’état d’esprit qui diffère.
Et aussi :
- à être en relation physique avec l’autre (ce qu’on a tendance à ne plus faire dans nos sociétés « modernes »).
- à vous défaire de vos raideurs, de vos tensions. A vous assouplir.
- à renforcer votre physique.
- à renforcer votre mental.
- à vous relever de vos frustrations (il y en aura ; si vous n’êtes pas prêt à l’accepter, l’aïkido n’est pas fait pour vous). L’aïkido vous met face à vous-même et vous indique ce que vous devriez améliorer ou corriger ou changer.
- à exercer votre esprit de jugement : vais-je ou non au combat ? Qui sera mon adversaire ? Suis-je certain de gagner (si je vais au combat) ?
Adoptez les principes de l’aïkido dans tout ce que vous êtes et dans tout ce que vous faites
Avec l’aïkido,
vous construisez votre physique
vous construisez votre mental
vous construisez votre relationnel
Et quand on est en forme physique, mentale et relationnelle,
on a construit son bien-être.
Formez-vous aux principes de l’aïkido et utilisez-les partout.
En chemin, vous assimilez ces principes, vous faites l’acquisition des bases et des techniques. Et vous vous prenez au jeu de les mettre en oeuvre.
Ça, c’est l’aïkido qu’on ne trouve pas partout. C’est l’aïkido au dojo SNC AIKIDO.
C’est l’aïkido transmis de maître à élève,
de manière traditionnelle,
dans un dojo. (Un maître, un dojo.)
Le maître du dojo SNC AIKIDO est Paul Versteven
(entendez maître d’apprentissage, ça évitera de faire gourou)
Pratique l’aïkido depuis plus de 30 ans
A reçu (et reçoit toujours) son enseignement de Maître Alain Peyrache.
Renommé en France, en Europe et dans le monde.
Lui-même élève des Maîtres Tamura, Chiba, Tada.
Eux-mêmes élèves du fondateur de l’aïkido, Maître Ueshiba.
Dans le mode de transmission traditionnel de maître à élève.
Si l’aventure vous tente, profitez des séances d’Initiation & découverte, du 13 au 28 septembre 2020.
C’est sans engagement.
C’est vous-même qui fixez le nombre de séances : 1, 2 ou 3.
C’est pour vous, vos enfants, vos ados.
Cours adultes
Cours enfants
Cours ados
SNC AIKIDO, le dojo qui place l’aïkido sur ses bases véritables
264 Route de Strasbourg – 69240 RILLIEUX-LA-PAPE
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